
Un quartet de jazz, un narrateur qui jase, se rejoignent sur l’oeuvre-fleuve «Nougaro» . Ensemble ils s’embarquent sur la langue rocaille qui tangue et puis qui roule, qui tinte comme l ‘eau de Garonne. ça swingue à qui mieux mieux.
Voici un hommage à l’homme-lettre gourmand et sa voix lactée. Avec un peu d’audace, pas mal de tendresse et beaucoup de respect :« l’amour c’est pas sorcier».
ARRANGEMENT : Valérie Chane Tef